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Vaccinations et toxicologie

Dr Jean-Michel Crabbé
30 janvier 2022

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Primum non nocere
D'abord ne pas nuire

 

Le problème des vaccinations est débattu depuis des années sans qu'on lui apporte de réponse claire et définitive. Comme il se présente sous différents aspects, objectifs et scientifiques pour les uns, et totalement subjectifs pour les autres, il y a de nombreuses contradictions.

Insuffisamment formés en toxicologie, en immunologie, en épidémiologie et en histoire des grandes épidémies, les médecins sont partagés entre une confiance aveugle dans les laboratoires, l'envie d'en savoir plus et la crainte d'avoir été manipulés.

Le problème des vaccins ne se limite pas aux statistiques sur leur efficacité : leurs aspects toxicologiques sont essentiels, et l'histoire des grandes épidémies contredit souvent la notion habituelle de contagion.

 

Si le problème des vaccinations était uniquement scientifique, les mêmes décisions seraient appliquées partout dans le monde. En pratique, les vaccinations obligatoires en France ne le sont pas en Espagne, en Italie ou en Allemagne, ce qui prouve que ces décisions sont politiques et financières, soutenues par des arguments soi-disant scientifiques et statistiques variables selon les pays.

Les vaccinations posent une série de problèmes entièrement différents : un problème d'immunologie, un problème de toxicologie, un problème de terrain, un problème de statistiques, un problème politique et un problème d'intérêt financier. Dans chaque cas, on se heurte aux approximations, aux manipulations et aux dissimulations des industriels chargés de démontrer eux-mêmes, directement ou indirectement, l'efficacité et l'innocuité de leurs produits.

  Pasteur, Koch et Jenner

Premières vaccinations

Sur le plan historique, les premiers essais de vaccination ne sont pas spectaculaires. Edward Jenner (1749-1823) a proposé un vaccin contre la variole, mais seuls quatre cas sur 23 semblent "avoir réussi", selon les critères de cette époque. Robert Koch (1843-1910) a testé la tuberculine comme vaccin contre la tuberculose, mais sa méthode s'est révélée inefficace et dangereuse. Quand à Louis Pasteur (1822 -1895), il ne disposait pas de véritables preuves de l'efficacité de son vaccin contre la rage. Ces premières expérimentations ne respectaient aucun protocole scientifique sérieux, elles étaient dangereuses et il n'y a aucune preuve indiscutable de leur efficacité. De nos jours, ces trois personnages seraient bannis de la recherche et de la médecine.

 

Quelques exemples concrets

C. Bonah et P. Menut, Le BCG, mieux vaut y aller prudemment. La longue marche d'un vétéran, La Recherche, septembre 2002, n°356.
Voir les épidémies dans l'histoire des peuples, document à télécharger.

Sans entrer dans les détails, la vaccination consiste à introduire dans un organisme en bonne santé des antigènes inactivés de microorganismes pathogènes, de façon à induire l'apparition d'anticorps destinés à lutter contre ces microorganismes. De la théorie à la pratique, la distance est immense, et il est très difficile de savoir "si ça marche" et quels sont les risques. Dans le cas de vaccinations bien connues, les résultats sont discutables.

Pour la tuberculose, la revue scientifique La Recherche lui avait consacré un numéro entier qui montrait l'inutilité du BCG, vaccin jamais utilisé dans les pays anglo-saxons. Dès les années 1930, les études épidémiologiques montraient que le sommet de l'épidémie était dépassé et qu'elle s'éteindrait pour les populations européennes dans les années 1960. L'Institut Pasteur s'est approprié une victoire qui n'est pas la sienne. Dans les années 1930, de grands médecins directeurs de sanatoriums affirmaient aussi que la tuberculose n'était pas une maladie contagieuse, et que leur personnel n'était jamais contaminé par les malades ! (Document en préparation à ce sujet)

Pour la variole, il semble certain qu'après l'échec des campagnes massives de vaccination, la variole fut vaincue par la recherche active des malades et des contacts, suivie de leur isolement. La vaccination de ces mêmes contacts n'ayant fait qu'accroître le nombre de cas. Or l'OMS a publié de nouveaux documents qui affirment que la variole a été vaincue par le vaccin. Il y a une véritable guerre d'information à ce sujet, et il est donc impossible de connaître la vérité à ce sujet.

Pour la rougeole, cette maladie a presque disparu en France grâce à la vaccination de masse. Ce résultat est incontestable, mais il existe maintenant un risque de voir des rougeoles survenir à l'âge adulte à cause de la diminution progressive du taux d'anticorps et de variations génétiques du virus.

Pour la poliomyélite,, le nombre de cas de polio a diminué de 99% par rapport à 1988, mais avec quelques foyers persistants dans certains pays. D'autre part, il existe aux Étas-Unis de nouveaux cas de paralysie infantile incurable, inexpliquée et mystérieuse, semblable à la poliomyélite.

Pour l'hépatite B,, dès le début un nombre important d'effets indésirables (affections démyélinisantes et "auto-immunes") ont été signalées. Pour une centaine de professionnels de la santé vaccinés de façon obligatoire, ces complications ont été considérées comme des accidents du travail. La vaccination systématique des jeunes a été interrompue. D'autre part, on signale maintenant une augmentation des cancers du foie sur les populations vaccinées, ce qui n'est pas étonnant pour un virus qui cible le foie.

Pour le SIDA et le paludisme, depuis trente ou quarante ans tous les efforts des chercheurs ont échoué.

Ces exemples montrent que la vaccination reste, au XXe siècle, une méthode de prévention aux résultats incertains, variables selon les individus, avec une durée de protection très mal connue et des risques . Il y a une guerre de l'information, avec des extrapolations de statistiques biaisées. On se heurte à une grande part de bluff de la part des laboratoires, un manque d'esprit scientifique, l'absence d'informations fiables sur les bénéfices et les effets secondaires à court et à long terme, et une conception fausse de la notion de contagion.

De plus, les laboratoires et l'OMS ne tiennent pas compte des variations séculaires inexpliquées de toutes les grandes épidémies, qui disparaissent spontanément pour laisser la place à d'autres pathologies, voir : Pr Sournia, Les épidémies dans l'histoire des peuples, .pdf à télécharger.

 

De la théorie au vaccin anti-SIDA

Au tout début de l'épidémie de SIDA, après la découverte du virus (contestée par certains scientifiques), les chercheurs avaient annoncé un vaccin anti-SIDA dans un délai de cinq ans. Pour cela ils s'appuyaient sur leurs connaissances en immunologie et sur presque un siècle d'expérience dans le domaine des vaccinations.

De plus, les moyens financiers ne manquaient pas, puisque la mise au point de tests et de vaccins allait rapporter énormément d'argent aux industriels. On devait donc disposer, dès 1990, d'un vaccin capable de contrer cette nouvelle épidémie.

Nous sommes en 2019, trente années ont passé, les chercheurs sont allés d'échec en échec et le vaccin anti-SIDA n'est toujours pas disponible. Trente années de découvertes fabuleuses en génétique, en immunologie et en µ-biologie, trente prix Nobel de médecine attribués à des chercheurs talentueux et nous n'avons toujours pas de vaccin anti-SIDA... Où est l'erreur ?

La conclusion est simple, la théorie est fausse ou très incomplète aussi bien en ce qui concerne le virus, le vaccin, les fonctions immunitaires, la notion de terrain... Il y a une faille énorme que les scientifiques ne savent pas combler, de graves incertitudes théoriques et pratiques. Le système immunitaire est beaucoup plus complexe que ce que les chercheurs avaient imaginé.

 

Effets toxiques des vaccins

Liens : Fiche-Thiomersal.pdf sur ansm.sante.fr
OMS : Comité consultatif mondial de la sécurité vaccinale (GACVS) - Thiomersal.

Pour l'essentiel, il s'agit des substances (neuro)toxiques ajoutées aux vaccins pour les stabiliser et pour renforcer les réactions du système immunitaire. À cela s'ajoute le risque de réactions allergiques aux fractions antigéniques du vaccin.

Il y a donc des risques toxiques et immunitaires, des risques immédiats ou retardés, et des risques locaux ou généraux.

Parmi les additifs toxiques contenus dans les vaccins, on cite souvent l'aluminium, neurotoxique, et le thiomersal, organomercuriel utilisé pour inhiber les contaminations bactériennes et fungiques dans les vaccins inactivés. Les dérivés du mercure sont des neuro-toxiques très puissants, avec une accumulation et des effets tardifs. Or selon l'OMS :

« le Comité consultatif mondial de la sécurité vaccinale ne dispose à l'heure actuelle d'aucune preuve de toxicité due au mercure chez le nourrisson, l'enfant ou l'adulte exposé au thiomersal présent dans les vaccins. Il n'y a aucune raison de modifier pour des raisons de sécurité les pratiques actuelles de vaccination au moyen de vaccins contenant du thiomersal...» sur www.who.int/vaccine_safety/committee/fr/

Ce sont des mensonges ! Aucun chercheur n'a les moyens de détecter des lésions infra-cliniques et de compter les neurones endommagés ou détruits dans le cerveau d'un nourrisson. Aucun chercheur ne sait mesurer les effets toxiques à long terme de ces produits.

Il existe pourtant une méthode de détection des lésions précliniques du système nerveux : la recherche d'anticorps spécifiques des protéines du système nerveux. Quand les tissus nerveux sont lésés, comme avec les insecticides organo-phosphorés ou le syndrome aéro-toxique, on observe l'apparition d'auto-anticorps dirigés contre ces tissus. Ces auto-anticorps ne sont pas la cause, mais la conséquence des destructions tissulaires. À ma connaissance, ces examens ne sont jamais pratiqués.

 

Risques immunitaires des vaccins

Ponvert C. et coll. Immunologie fondamentale et immunopathologie. Édition Marketing Ellipses, 1991 et 1998.
Abou-Donia M.B. and Coll, Autoantibodies to nervous system-specific proteins are elevated in sera of flight crew members: biomarkers for nervous system injury, Journal of Toxicology and Environmental Health, Part A, 76:363-380, 2013.

Sur le plan immunitaire, les conséquences de l'injection d'antigènes étranger sont multiples, et les échecs successifs du vaccin anti-SIDA ou du vaccin contre le paludisme prouvent que les chercheurs ne maîtrisent pas ce domaine. L'injection d'antigènes étrangers devrait provoquer l'apparition d'anticorps et protéger contre une maladie infectieuse, mais le système immunitaire peut aussi réagir de façon totalement disproportionnée, dangereuse et prolongée, ou pas du tout :

- Réaction immédiate allergique locale ou générale,
- Conflit immunitaire à bas bruit avec dégradation infraclinique, lente et progressive de la fonction rénale par les complexes antigènes/anticorps,
- Maladies immunitaires prolongées et soi-disant inexpliquées comme la sclérose en plaques.

Mon voisin est l'une des nombreuses victimes collatérales de vaccinations dont les effets immunitaires et toxiques ne sont absolument pas maîtrisés. Depuis dix ans il lutte au quotidien contre une sclérose en plaques déclarée dans les semaines qui ont suivi un vaccin contre l'hépatite.

Un jour, les chercheurs établiront peut-être des liens entre les vaccinations multiples, les insuffisances rénales et les maladies neuro-dégénératives des personnes âgées. Encore des catastrophes inexpliquées de la modernité.

 

Terrain et vaccination

Le dernier point à aborder est la notion de terrain, qui conditionne des réactions individuelles très différentes aux vaccins. Les laboratoires, les ministères et l'Académie n'en tiennent aucun compte. Cet aspect apparaît dans la longue liste des effets statistiques indésirables décrits dans les nomenclatures des laboratoires. Légalement, les médecins et les laboratoires sont dédouanés des éventuelles complications liées aux vaccins, et elles sont nombreuses :

Les effets désirables et indésirables des vaccins dépendent de nombreux facteurs individuels, en particulier :

- Génétiques : les fonctions biologiques chargées de fixer, de transporter, de dégrader et d'éliminer les substances toxiques dépendent du génome, de l'équipement enzymatique et de l'état fonctionnel des organes spécifiques à chaque individu.
- Immunitaires : le système immunitaire se développe pendant la période embryonnaire et la petite enfance d'une façon très variable en fonction de facteurs génétiques et environnementaux, y compris l'allaitement maternel. Sa réactivité sera différente selon les individus.
- Chronobiologiques : il est démontré que l'efficacité d'une vaccination dépend de l'heure à laquelle elle est pratiquée. De même, il est démontré que l'exposition à une substance toxique a des effets très différents voire opposés selon l'horaire de l'exposition. (cf Alain Reinberg, Chronobiologie et chronothérapeutique, Flammarion.)

Ces facteurs, manifestement très importants, ne sont jamais pris en compte par une médecine qui se prétend scientifique sans en prendre les moyens. Ils signifient que chez un individu λ, il est impossible de prévoir les effets réels, bénéfiques, toxiques ou immunitaires d'une injection vaccinale.

 

L'illusion de la vaccination, Dr Suzanne Humphries sur kla.tv

Le Dr Suzanne Humphries est médecin spécialiste des maladies internes et néphrologue et elle travaille indépendamment de l'industrie pharmaceutique. Pendant sa pratique, qui a duré des dizaines d'années, elle a fait l'expérience personnelle que la médecine courante crée dans beaucoup de cas des nouvelles maladies au lieu de guérir les gens. Pendant de nombreuses années elle a fait des recherches sur les vaccins et sur les maladies infectieuses et a publié ses résultats dans son livre intitulé :
L'illusion du vaccin - les maladies infectieuses, les vaccins, et les faits étouffés. Elle y met à la lumière des aspects importants qui jusqu'à présent sont peu connus du public mais qui pourraient être très utiles:

Dr. Suzanne Humphries, https://drsuzanne.net/


EN PRATIQUE, le domaine des vaccinations reste extrêmement litigieux et très opaque. D'une façon générale, on ne trouve jamais de documents scientifiques indiscutables, indépendants de l'industrie pharmaceutique, apportants les preuves de l'efficacité et de l'innocuité des vaccins. En revanche, de très nombreuses voix s'élèvent partout dans le monde pour critiquer les vaccins et dénoncer leur inutilité et leurs dangers réels. Les laboratoires s'attribuent des victoires qui ne sont pas les leurs, les conséquences toxiques, immunitaires et individuelles à long terme des vaccinations sont méconnues et passées sous silence. Les médecins sont limités par une formation très insuffisante en toxicologie et en immunologie, par l'absence d'informations objectives de la part des laboratoires et par la loi du silence qui entoure ces questions. Cette absence de transparence est très suspecte, entretenue par les laboratoires pharmaceutiques, les ministères, les organismes de recherche, l'Académie et les facultés de médecine. Ce domaine est, pour l'essentiel, très subjectif et inféodé à de multiples intérêts financiers ou politiques.

 

[titre]

 

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